Accéder au contenu principal

Votre futur a court terme par a+b

Le rapport dinar / euro ne change pas.l'euro baisse -> notre dinar baisse -> notre pouvoir d'achat baisse.
Le rapport dinar/ dollar diminue. Le dollar monte -> notre dette monte -> plus de dinars a mettre pour payer la dette -> moins d'argent du contribuable pour lui rendre service.

Moins de pouvoir d'achat + moins de service public = Rabby Yostor

La solution ≈ amarrer notre economie au dollar et au pays a forte croissance.

Commentaires

Houssein a dit…
Non. La solution : laisser flotter le Dinar. Il est temps.
SNAWSI a dit…
le futur c'est la Chine, faut conquérir l'Asie !
Houssein a dit…
En même temps, faut se rappeler que l'Europe est le premier, et de loin, partenaire commercial/économique de la Tunisie. Dans ce sens amarrer le dinar a l'euro va de soi, de la meme maniere que le Yuan chinois est amarre au dollar US.
Anonyme a dit…
Mais le problème est justement là Houssein. 70 à 80% de nos échanges extérieurs se font avec l'europe, alors si elle coule, nous coulerons avec.

Il faut absolument nous libérer de l'euro. C'est une monnaie qui finira par disparaitre tôt ou tard.
Houssein a dit…
Oui, tu as probablement raison Tarek. Mais ça c'est un autre débat stratégique... Disons que pour l'instant on a pas trop le choix.
Anonyme a dit…
Je trouve que les conclusions énoncées sont trop rapides :

Le dollar monte -> notre dette monte -> plus de dinars a mettre pour payer la dette -> moins d'argent du contribuable pour lui rendre service

Notre dette n’est pas libellée exclusivement en dollar …


Je trouve la recommandation suivante très amusante :

Il faut absolument nous libérer de l'euro. C'est une monnaie qui finira par disparaître tôt ou tard.

On choisira quoi comme monnaie de base dans ce cas ?
On échange avec qui ?
Un peu de réalisme SVP…
@anonyme
je suis d'accord que c assez simpliste come raisonnement. Je suis ouvert parcontre a le votre que j'espere plus etoffe.
Anonyme a dit…
Zied, vu la qualité de ton français tu ferai mieux d'être ouvert à des cours de grammaire. Ya mnayek

Posts les plus consultés de ce blog

تونس: كارثة الإيقاف التحفظي

الإيقاف التحفظي والايداع بالسجن قبل إصدار الحكم يجب ان يكون الاستثناء وليس القاعدة. هذا الإجراء المعمم بالمحاكم التونسية هو سبب اكتظاظ السجون(50%من السجناء هم مواطنين موقوفين ولا يوجد حكم ضدهم) وثابت علميا انه يؤثر على مجرى العدالة بشكل كبير ويؤثر سلبا على الأحكام فنادرا ما يحكم الموقوف بالبراءة او بمدة اقصر من التي قضاها تحفظيا . هذه الممارسات تسبب كوارث اجتماعية واقتصادية و تجعل المواطن يحقد على المنظومة القضائية و يحس بالظلم و القهر Pour s'approfondir dans le sujet: Lire L'etude du Labo démocratique intitulée :  "Arrestation, garde à vue, et détention préventive: Analyse du cadre juridique tunisien au regard des Lignes directrices Luanda"

La Tunisie sur le Los Angeles Times

Un article du Los Angeles Times (the third-most widely distributed newspaper and the second-largest metropolitan newspaper in the United States ) qui passera surement inapercu en Tunisie mais qui merite qu'on s'y attarde rien que pour le fait que c'est le deuxieme du meme auteur ( email ) dans l'espace d'un seul mois et les seuls qui parlent de la Tunisie au LA Times durant toute l'annee 2007.

Le discours de Bourguiba à Addis Abeba en 1963 à l'occasion de la création de l'OUA

Merci à tous ceux qui ont réagi pour revendiquer l'appartenance de la Tunisie à l'Afrique. Grace au soutien de la direction de la communication de l'unité africaine,voici en exclusivité le discours de Bourguiba à l'occasion de la création de l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA). Ce discours a été prononcé il y'a 50 ans jours pour jours, le 25 Mai 1963 à Addis Ababa. Son Excellence Habib Bourguiba, Président de la Tunisie. L’unité dans la diversité J’ai l’agréable devoir d’adresser à votre éminente assemblée les salutations fraternelles du peuple tunisien et ses vœux de plein succès pour nos travaux. C’est la seconde fois en peu de d’années que les Etats indépendants d’Afrique se réunissent à Addis-Abéba, ce bastion héroïque de la liberté africaine. Je ne puis, sans émotion et sans fierté, évoquer l’épopée éthiopienne. Ce fut le début d’un combat décisif qui devait se terminer, en Afrique et ailleurs, par la défaite inéluct